Personnes invitées - aldecoafestibala

Isaac Rosa

(Séville, 1974)

 

Il est l'auteur de romans tels que El vano ayer, El país del miedo, Feliz Final ou encore Lugar Seguro entre autres, ainsi que de nouvelles, de romans jeunesse et de scénarios de BD. Il a reçu des prix tels que le Rómulo Gallegos, El Ojo Crítico ou le Biblioteca Breve. Collaborateur de divers médias, il est actuellement chroniqueur pour  eldiario.es

 

Aixa de la Cruz

(Bilbao, 1988)

 

Titulaire d'un doctorat en Théorie de la littérature et Littérature comparée, elle est traductrice et écrivaine. Elle embrasse la carrière littéraire grâce au soutien de la Fondation Antonio Gala, qu'elle a rejointe à l'âge de 18 ans. Depuis lors, elle a publié les ouvrages suivants : un recueil de contes Modelos animales (Salto de Página, 2015), l’essai Diccionario en guerra (La Caja Books, 2018), et  les romans When we were the best (Almuzara, 2007), Of light music (451 Editores), The front line (Salto de Página, 2017) et Cambiar de idea (Caballo de Troya, 2019) qui lui a valu le Prix Euskadi de littérature en espagnol et le Prix Librotea Tapado. Son livre le plus récent s’intitule Las herederas (Alfaguara, 2022). Depuis près de dix ans, elle accompagne des écrivaines et écrivains en tant que professeure d'écriture créative.

 

Mariasun Landa

(Errenteria, 1949)

 

Diplômée de Lettres et Philosophie. Elle enseigne, depuis des années, la Didactique de la Littérature à l'UPV/EHU (Université du Pays Basque).

Autrice aux multiples facettes, elle a remporté les prix les plus prestigieux de la littérature d’enfance et de jeunesse : Prix Lizardi en 1982, Prix Euskadi en 1991, Prix National en 2003. Elle est nominée pour le prix Andersen en 2008. Prix Eusko Ikaskuntza/Études Basques 2014. Prix Emakunde 2023 et Prix Gutun Zuria 2024.

Elle a dirigé divers ateliers d'écriture narrative dans le cadre des Cours d'été de l'UPV/EHU.

Elle est membre de Jakiunde (Académie des Sciences, Arts et Lettres du Pays Basque).

 

 

Eloy Tizón

(Madrid, 1964)

 

Il est l'auteur de quatre recueils de contes : Plegaria para pirómanos (2023), Técnicas de iluminación (2013), Parpadeos (2006) et Velocidad de los jardines (1992 et 2017) ; de trois romans : La voz cantante (2004), Labia (2001) et Seda salvaje (1995) ; et de l’essai littéraire Herido leve. Treinta años de memoria lectora (2019).

Il compte parmi les meilleurs narrateurs européens de l'anthologie Best European Fiction 2013, préfacée par John Banville. De nombreuses anthologies ont intégré ses œuvres qui ont été traduites en plusieurs langues : anglais, français, italien, allemand, slovène, finnois et arabe.

Collaborateur assidu des médias depuis son plus jeune âge, il a tenu, pendant quatre ans, la chronique Vértigos du magazine El cultural.

Il a animé des ateliers de narration courte à l'Université d'Almería (UAL) et dans divers centres éducatifs tels que Fuentetaja et Hôtel Kafka.

Il dirige, depuis 2022, le Festival du conte littéraire en Espagne qui se tient dans la commune de Tolède, à Torrijos sous le titre TorrijosCuenta (Torrijos raconte).

 

 

Ana Malagon

(Donostia, 1978)

 

Diplômée en Communication audiovisuelle, elle travaille dans le domaine de la conception de projets numériques.

Elle a publié à ce jour trois livres de fiction : Lasai, ez da ezer gertatzen (Elkar, 2014), Gelditu zaitezte gurekin (Elkar, 2017) et Ez dakit zertaz ari zaren (Elkar, 2021). Ce dernier remporte, en 2022, le Prix Euskadi d’argent décerné par l'Association des libraires de Gipuzkoa .

Elle publie également ses chroniques dans le journal Berria

 

Joseba Sarrionandia

(Iurreta-Durango, 1958)

 

Il fait ses études de sociologie et de philologie à Bilbao. Militant de la bande Pott, il est emprisonné de 1980 à 1985, puis passe quelques années en exil avant de revenir au Pays Basque en 2021. Il a publié de nombreux ouvrages, dont, notamment : Ni ez naiz hemengoa (1985) ; Izkiriaturik aurkitu ditudan ene poemak (1985) ; Atabala eta euria (1986) ; Marginalia (1988) ; Hezurrezko xirulak (1991) ; Hnuy illa nyha majah yahoo (1995) ; Hitzen ondoeza (1997) ; Hau da ene ondasun guzia (1999) ; Lagun izoztua (2001) ; Idazlea zeu zara, irakurtzen duzulako (2010) ; Moroak gara behelaino artean? (2010) ; Lapur banden etika ala politika ? (2015) ; Bizitzea ez al da oso arriskutsua ? (2018) ; Airea ez da debalde (2019) ; Markos Gimenoren 101 letrakartel (2023).

 

 

Tina Vallès

(Barcelone, 1976)

 

Écrivaine, elle écrit en catalan. Depuis 2006, dans son premier livre de récits (L’aeroplà del Raval) elle combine des narrations courtes pour adultes et enfants, ce qu’elle fait également dans ses romans. Son œuvre la plus connue, traduite en 19 langues, est La memoria del árbol qui remporte deux prix en Catalogne et un en France. El paréntesis más largo (Godall Edicions, 2017, traduit en espagnol par Gonzalo Torné) a reçu en 2013 la distinction la plus prestigieuse à la nouvelle en catalan : le prix Mercè Rodoreda.

Pedro Ugarte

(Bilbao, 1963)

 

Il a consacré une bonne partie de son œuvre littéraire à la narration courte, avec des ouvrages tels que Los traficantes de palabras, Manual para extranjeros, La isla de Komodo et Mañana será otro día. Dans Páginas de Espuma, il avait déjà publié El mundo de los Cabezas Vacías, dont plusieurs récits avaient remporté le Prix NH du livre inédit ; Nuestra historia, qui a reçu le prix Setenil au meilleur livre de nouvelles de l'année, et Antes del Paraíso.

 

Mari Jose Olaziregi

(Donostia, 1963)

 

Mari José Olaziregi. Elle est docteure en Philologie basque et professeure titulaire à l'EHU. Elle a été professeure et chercheuse dans plusieurs universités étrangères (University of Chicago, CUNY, Universität Konstanz, CBS). Elle se consacre principalement à la Critique et à l'historiographie de la littérature basque, aux Études de la Mémoire et aux Études de genre. Depuis 2013, elle dirige l'équipe de recherche du MHLI et a dirigé le département d’Euskera à l'Institut Basque Etxepare entre 2010 et 2016. Elle a écrit 11 livres et en a édité 18 ; elle a par ailleurs publié 92 chapitres de livres et 81 articles.

 

 

Harkaitz Cano

(Lasarte-Oria, 1975)

 

Il a travaillé tous les genres de l'écriture, ou presque : le roman (Twist, Fakirraren ahotsa), le conte (Neguko zirkua, Beti oporretan), le théâtre (Sisiforen paperak, Hondamendia) et la poésie (Norbait dabil sute-eskaileran, Pozaren erdia, Ulu egiteko bolondres bila). En tant que scénariste dans l’audiovisuel, il a surtout travaillé la BD (Amets alokatuak, Antzara eguna, Ni ez naiz Mikel Laboa…). Ses livres peuvent être lus dans une douzaine de langues

 

Irati Majuelo Itoiz

(Iruñea, 1993)

 

Diplômée de traduction et interprétation de l'Université du Pays Basque. Elle fait un master en « Théorie littéraire et Littérature comparée » à l'Université de Barcelone. Elle est titulaire du doctorat en Littérature comparée et Études littéraires, et présente la thèse intitulée « Euskal eleberrigintzaurbanaren irakurketa feminist bat » qu’elle défend à l'EHU. Elle publie par ailleurs aussi des critiques littéraires dans la revue Berria.

 

Aintzane Usandizaga Lopez

(Lasarte-Oria, 1988)

 

Elle est l'autrice de deux recueils de contes, Zomorrotu (Elkar, 2023) et Kabitu Ezina (Elkar, 2019) et a publié les albums illustrés suivants : Etxe Honetan (Pamiela 2019) et (Ia) guztia moztu eta itsats daiteke. Esther Ferrer eta denbora (Pamiela, 2022) ; et Ez duzu sinetsiko (Txalaparta, 2023) est son dernier ouvrage, destiné, cette fois, à un public d’enfants. Elle a travaillé comme scénariste, et collaboré avec la presse et à divers projets collectifs tels que l’anthologie de BD féministe Tupust !

 

Beñat Goitia

(Gasteiz, 1991)

 

Dans l’univers de la musique, il porte le pseudonyme de Benizze. Après avoir joué dans les groupes Expolio et Montauk et suite à diverses collaborations avec Isturitzetik Etiopian Barrena, Benizze lance un projet-solo dans le monde de l'électronique. Électronique française, reggaeton lourd, sous une couche profonde de paroles.

 

Nagore Fernandez-Zabala

(Bermeo, 1997)

 

Elle présente sa thèse sur la narration basque contemporaine à l’occasion d’une bourse pré-doctorale UPV/EHU. Elle appartient au groupe de recherche MHLI et publie ses critiques littéraires dans la revue Berria depuis 2020. Parmi ses publications, il faut citer notamment l'article du magazine Egan (2021) sur le récit d'Eider Rodríguez, et le chapitre (2022) de la monographie sur la censure postfranquiste que signe le groupe de recherche MHLI (UPV/EHU) en collaboration avec les chercheuses Ainhoa​​ ​Urzelai-Vicente et Ane Villagran-Arrastoa